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Notre conformité

Droit d'alerte

Le droit d’alerte est la possibilité pour tout collaborateur de l’entreprise ainsi que tout prestataire externe et fournisseur de signaler un dysfonctionnement auprès de la fonction Conformité lorsque le signalement par la voie hiérarchique est inopérant ou inadapté à la situation (peur de représailles, hiérarchie impliquée, …). Initialement introduit dans la charte éthique Groupe, ce droit a été précisé dans le code de conduite de Crédit Agricole Assurances, déclinaison opérationnelle de la charte.

Pour consolider son programme de prévention des comportements non éthiques, délictueux et criminels, le Groupe Crédit Agricole Assurances a souhaité accompagner tout collaborateur de l’entreprise ainsi que tout prestataire externe et fournisseur souhaitant exercer son droit d’alerte afin de protéger les intérêts de l’entreprise.

Pour ce faire, le Groupe met la plateforme BKMS® SYSTEMS à la disposition des personnes exerçant leur droit d’alerte. L’exercice du droit d’alerte doit se faire de manière désintéressée et de bonne foi.

Prévention de la corruption

Un dispositif renforcé qui s’inscrit dans l’engagement éthique et sociétal du Groupe CAA

Les points essentiels :

 

  • La lutte contre la corruption et contre la fraude est l’affaire de tous et mérite toute votre vigilance au quotidien pour prévenir et détecter les tentatives
  • Les principes de bonne conduite et le respect de la réglementation doivent être appliqués
  • La Direction Générale applique une politique de tolérance zéro en matière de corruption
  • En cas de doute, il faut informer immédiatement le responsable hiérarchique et/ou la cellule de prévention de la fraude/corruption.

 

Qu’appelle-t-on la corruption ?

 

On distingue deux types de corruption :

  • La corruption active : obtenir ou essayer d’obtenir via des avantages/dons ou des promesses qu’une personne exerçant une fonction publique ou privée accomplisse ou au contraire retarde ou s’abstienne d’accomplir un acte qui entre dans ses fonctions ou qu’elle peut faciliter.
  • La corruption passive : une personne exerçant une fonction profite de celle-ci en sollicitant ou en acceptant des dons, promesses ou avantages en vue d’accomplir ou de retarder d’accomplir un acte attaché sa fonction.

 

La corruption est externe lorsqu’elle n’implique que des personnes ou des sociétés extérieures au Groupe : les flux financiers issus de telles opérations relèvent dans ce cas de la lutte contre le blanchiment.
La corruption est interne lorsqu’elle implique des salariés ; elle est alors constitutive d’une fraude interne.

 

Comment le groupe lutte contre la corruption ?

 

L’engagement des instances dirigeantes du Groupe Crédit Agricole s’est traduit en juillet 2017 par la certification du Groupe, 1ère banque française à bénéficier de la norme internationale ISO 37 001 pour son système de management anticorruption. Cette certification a été renouvelée par Euro Compliance en août 2019 et couvre notamment le Groupe Crédit Agricole Assurances.

Elle atteste que les risques de corruption sont correctement identifiés et que le programme appliqué par Crédit Agricole Assurances est conçu de façon à limiter ces risques, en déclinant les meilleures pratiques internationales.

Le dispositif anticorruption du Groupe repose notamment sur :

  • une gouvernance dédiée à la prévention de la corruption
  • une cartographie des risques de corruption
  • un code de conduite anticorruption
  • un programme de formation et de sensibilisation de l’ensemble des collaborateurs
  • le renforcement du dispositif de protection des lanceurs d’alerte.

 

Les collaborateurs du Groupe jouent un rôle essentiel dans le dispositif de prévention de la corruption. Il leur revient d’agir de manière loyale et responsable. Ils sont régulièrement sensibilisés grâce à des modules de formation pour savoir comment agir au quotidien.

 

Et vous, concrètement, comment vous contribuez à lutter contre la corruption ?

 

Vis-à-vis de la corruption externe : 

  • Grande vigilance
  • Application stricte des consignes en matière de lutte contre le blanchiment.

 

Vis-à-vis de la corruption interne :

  • Identification de toute situation de conflits d’intérêts propice à des sollicitations et information de la hiérarchie
  • Refus de tout cadeau ou avantage qui pourrait aboutir à une situation de conflit d’intérêt
  • Interdiction d’envoi ou la réception de cadeau ou avantage sous forme d’espèce ou équivalent (y compris les chèques cadeaux et bons cadeaux)
  • Refus de tout voyage ou séjour financé par une société tierce
  • Application des procédures de sélection et de contrôle des fournisseurs, intermédiaires et apporteurs d’affaires
  • Veille au respect des obligations relatives à la probité, édictées par le code de conduite anticorruption
  • Signalement des dysfonctionnements constatés et exercice du droit d’alerte.

 

Documentation

 

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